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Monica abandonne la politique. Ça lui a laissé un trop mauvais goût dans la bouche.

Un dimanche, le vieux prêtre d'une commune rurale qui exerçait depuis une bonne quarantaine d'années, concluait son sermon hebdomadaire en tapant du poing sur l'autel. Il lance à ses fidèles : "J'ai entendu l'expression "péché d'adultère" au moins un millier de fois depuis que j'officie dans cette église. Je vous le dis tout net, si j'entends encore une seule fois ces mots, je prends ma retraite."
Tout le monde l'aimait bien dans le village et on s'accorda donc à ne plus jamais employer les mots interdits. Les habitants décidèrent à la place d'employer l'expression "j'ai chuté".
Cette initiative calma le vieux prêtre qui vécut l'esprit tranquille pendant encore plusieurs années. Après sa disparition, un jeune curé vint le remplacer dans la paroisse et il nota tout de suite la quantité alarmante "d'accidents" liés aux lois de la gravitation dont étaient victimes les habitants du village…
Il prit donc la décision d'aller trouver le Maire de la commune. Il lui dit : "Monsieur le Maire, il vous faut intervenir d'urgence sur l'état des trottoirs du village. C'est bien simple, il semble que tout le monde perde l'équilibre dans cette ville…"
Le premier citoyen, comprenant que personne dans la commune ne l'avait informé du véritable sens de l'expression "j'ai chuté" éclata de rire. Il se tordait sur son bureau lorsque le jeune curé le rappela à l'ordre : "Qu'est ce qui vous fait donc rire à ce point ? A votre place, je ne me réjouirais pas. Tenez, pour citer un exemple qui vous concerne, votre femme a quand même chuté trois fois la semaine dernière.

C'est un homme de cinquante ans qui n'a pas le moral. Il expose ses problèmes à son père, âgé de 75 ans :
- Papa, depuis quelque temps, j'ai un problème d'impuissance. Dis-moi, est-ce que tu as eu le même problème ? Est-ce que c'est quelque chose qui existe dans la famille ?
Le papi répond :
- Ben, dans la famille de ta mère, je ne saurais pas trop te dire, mais moi par contre, je n'ai jamais eu à me plaindre : quand j'Ètais jeune homme, je pouvais même parcourir toute la longueur d'un terrain de foot en portant un seau d'eau rien qu'avec la force de mon gourdin… Mais maintenant, mes genoux me lâchent à mi-parcours.


Roro et Dédé se retrouvent sur la place du village pour disputer leur partie de boules hebdomadaire. Ce samedi, malheureusement, il pleut. Dédé dit à son pote :
- Alors qu'est-ce qu'on fait ?
- On n'a qu'à aller jouer aux fléchettes au café, répond Roro.
- Bof, non, j'ai pas envie, dit DÈdé
- Et faire un petit billard ?
- Non plus, répond Dédé
- Et une petite belote ?
- Non… Tiens, par contre, j'ai une idée. Si on allait chez moi pour "s'amuser" un peu avec ma femme ?
- Heu… Qu'est-ce que tu veux dire ?, dit Roro intrigué.
- Rien d'autre que ça : on rentre chez moi et on va prendre un peu de bon temps avec ma femme.
- Et moi ? Demande Roro incrédule.
- Oh ça va, elle est bonne joueuse et c'est le genre de choses qui ne lui déplaît pas
- Bon… Si tu penses que c'est bon, hasarde Roro
- Mais ouais.… Allez, viens, fais pas de chichi et allons-y !
Dans la maison de Dédé.
- Chérie, c'est moi, je suis à la maison, Chérie, Chérie !!!! Ah mince alors ! Elle a du partir faire des courses… Bon, c'est pas grave, je vais te dire ce qu'on va faire Roro : On va aller chez toi !

C'est deux voisins, le gars Bruno et le gars René qui ne peuvent pas se blairer l'un l'autre. Comme c'est l'été, et qu'il fait très chaud, madame René prend des bains de soleil à l'arrière de son jardin tous les après-midi. Et le Bruno ne peut pas s'empêcher de mater sa voisine au travers de la clôture ; surtout qu'elle est toute nue et plutôt plaisante à regarder…
Un beau jour, alors qu'ils se croisent au moment de sortir leurs poubelles, le Bruno pousse le vice jusqu'à dire à René :
- Dis-donc, ta femme, ça ne la gène pas de se faire bronzer à poil dans le jardin? Je dis ça parce que je l'ai vue pendant que je tondais ma pelouse la semaine dernière…
René, vexé et atteint au plus profond de son orgueil masculin se jure de prendre une revanche dès que possible. Quelque temps après, René qui s'était mis à espionner systèmatiquement la maison du voisin aperçoit par le fenêtre d'une des chambres la femme de son ennemi Bruno à genoux, en train de pratiquer une fellation !
Tout heureux de sa découverte, il aborde son voisin le lendemain et lui dit :
- Alors Bruno, on fait dans l'exhibitionnisme maintenant ? Hier après-midi j'ai vu ta femme qui te taillait une pipe !
Et le gars Bruno répond :
- Ha ha ha ! T'es qu'un menteur ! J'étais pas à la maison hier après-midi.

Deux dames du club du troisiÈme âge prennent le thé devant des petits gâteaux.
- Alors, quoi de neuf depuis la dernière fois qu'on s'est vues ?
- Oh, tu sais ce Monsieur Martin qui vient tout juste d'emménager à côté de chez moi et qui s'est inscrit tout de suite à notre club, eh bien hier soir, nous sommes sortis ensemble. Il est arrivé sur le pas de ma porte avec un bouquet de roses à la main. Ensuite, comme un vrai gentleman, il m'a emmenée au restaurant et nous avons pris un plateau de fruits de mer. Puis, toujours en gentleman, il m'a invité à prendre un verre au piano-bar. Sur le coup de minuit, il m'a raccompagné jusque chez moi, toujours avec la manière. Là, je n'ai pas voulu le laisser repartir comme ça, alors je l'ai invité à rentrer prendre un dernier verre. A ce moment là, il s'est approché de moi et m'a arraché tous mes vÍtements, il m'a tiré de force sur le lit et m'a fait subir les pires outrages ! …
- Oh Mon Dieu, répond l'autre, et dire qu'il m'a donné rendez-vous ce soir ! Qu'est-ce que tu crois que je dois faire ?
- Ben, si j'étais toi, je mettrais des vieux vêtements.

Un papa se promène sur la plage avec son fils. Ils s'arrêtent près du marchand de glaces. Le père s'adresse à la vendeuse et lui dit :
- Je prendrais un cornet au chocolat, puis il se tourne vers son fils, il lui donne une petite claque derrière la tête et lui demande :
- Et toi "grosse tête", qu'est-ce que tu veux ?
La vendeuse est révoltée :
- Mais pourquoi l'appelez-vous comme ça ? Ce ne sont pas des manières pour appeler un petit garçon !
Alors le père lui répond :
- Il y a trois choses qu'un homme désire ardemment dans la vie : la première, c'est d'avoir un bon travail. Et en ce qui me concerne, je suis restaurateur, j'aime mon métier, et les affaires tournent bien. La deuxième chose qu'un homme désire, c'est d'avoir une belle maison. Vous voyez la villa sur la colline, face à la mer, eh bien, c'est ma maison et je m'y plais énormément. Mais la troisième chose qu'un homme désire, c'est d'avoir un beau petit minou bien serré qui l'attend tous les soirs à la maison… et c'est ce que j'avais jusqu'à ce "grosse tête" ramène sa fraise.

Marius, Tony et Doumé, dragueurs professionnels, sont assis à la terrasse d'un café. Ils refont le monde autour de verres de pastis. Soudain une fille superbe en robe moulante montrant qu'elle en est au début de sa grossesse, leur passe sous leurs yeux.
Marius ouvre grandes ses mirettes et dit :
- Je me demande si elle est seule ?
Tony renchérit :
- Fais attention à ce que tu dis, c'est mon enfant qu'elle porte !
Et Doumé conclut :
- Oh dis, tu veux parier ?